Et si vous profitiez…?
Et si vous profitiez aujourd’hui d’un temps de trajet ou de pause, comme celle du déjeuner par exemple, pour aller simplement marcher !
Non, pas marcher de façon banale, ordinaire… Bien sûr, cela permet déjà de prendre l’air, de s’oxygéner (surtout si vous pouvez choisir un endroit au « vert »), et de bouger votre énergie.
Mais ce que je vous propose ici est une autre sorte de marche : une marche sophronique, une marche en conscience.
Il s’agit d’une marche plus lente, synchronisée sur votre respiration. Sans bavardage, ni musique dans les oreilles, mais l’attention seulement et strictement portée sur votre ressenti corporel :
- Que ressentez-vous lorsque vous levez cette jambe ? Dans votre mollet, au niveau du genou, sur le dessus de la cuisse…
- Que sentez vous sous votre pieds lorsque vous déposez votre talon, puis la voûte plantaire, et enfin vos orteils ?…
Soyez en phase avec chacun de vos mouvements.
Rien d’autre à faire que rester concentré/e, ressentir et laisser le corps se mouvoir librement en admirant sa fluidité et la magie de la marche !
Tranquillement, paisiblement, pleinement présent/e un pas après l’autre.
Observez déjà, après quelques minutes, combien cela libère l’esprit 🙂
Pas besoin d’être sur la plage pour profiter de la volupté d’une bonne marche.
Alors, vous avez essayé ? C’est le pied non ? 😉
Si vous profitiez…? Pratiquez, et pas seulement aujourd’hui. Et oui, c’est vrai : pieds nus, c’est encore mieux ! 🙂
jour(s): Jean Claude GREMONT
Moi qui suis un bon marcheur depuis quelques années, je ne connaissais pas la marche « sophronique », on apprend vraiment à tout age ! Je vais l’expérimenter dès demain…à suivre
jour(s): admin
😀 Si la marche est en effet au cœur de la vie de tous les jours, elle est aussi au cœur de la sophrologie ! Vous vous dites, peut-être, que la sophrologie se pratique assis, les yeux fermés, dans l’immobilité ? C’est vrai, mais pas seulement ou plutôt au début 😉
La marche faisant partie de notre quotidien, c’est autant de moments à vivre en conscience, plutôt qu’à les passer en ressassant le passé (« si j’avais su, j’aurais… ») ou en anticipant le futur (« zut, je vais arriver en retard… et mon …. ne va pas être content »). Par ailleurs, êtes-vous conscients que notre façon de marcher influence notre façon d’être, notre humeur et inversement ?