La souplesse triomphe toujours de la force… ou, ma pratique de la sophrologie…

Souplesse… ou force?

La souplesse triomphe toujours de la force…

C’est si évident lorsque l’on regarde l’eau polir les galets… le vent user les rochers…

À travers ma pratique de la sophrologie j’ai retrouvé beaucoup de bien-être, de souplesse

à la fois dans mon corps, mais aussi et surtout de la souplesse et de la clarté dans mon esprit. J’espère que vous pourrez, vous aussi, tout comme moi, réaliser la richesse que peut apporter la pratique de la sophrologie caycédienne.

Celle-ci débute par une pratique de ressenti du corps. L’accueil, la détente puis la respiration… relancent notre système parasympathique pour nous apporter plus de bien être, pratique après pratique. Comme les vagues, les unes après les autres, sont capables d’entamer une falaise, nos pratiques, les unes après les autres, nous libèrent de nos tensions physiques et mentales, de nos fatigues, …

Tout va tellement vite tous les jours, qu’il nous semble parfois difficile de nous asseoir tranquillement, de prendre un temps pour nous, en silence, pour nous ressourcer. Mais la sophrologie est une méthode très pragmatique. Elle peut venir se caler sur ce que nous faisons déjà, sans nous contraindre – à terme – à prendre trop de temps sur nos emplois du temps.

Elle nous apprend à rester plus en contact avec le moment présent et notre réalité objective.

Dans un monde où la suractivité, la vitesse, le stress, la compétition, la recherche de performance sont de mise, la relaxation dynamique, telle que conçue par le neuro-psychiatre Caycédo, nous apprend à rester plus en contact avec le moment présent et notre réalité objective. Elle nous aide à ouvrir notre conscience sur ce qui est, en toute neutralité bienveillante, pour mieux lâcher les ruminations sur le passé, et les projections sur un futur négatif…

Cette pratique nous invite, quelques minutes par jour, à atterrir, à déposer nos bagages, pour mieux nous ressourcer, récupérer de l’énergie, comme le veut d’ailleurs tout rythme naturel. Regardons la nature et apprenons de sa sagesse : pas de jour sans nuit pour se restaurer, pas de printemps ni d’été, où l’on s’active pour récolter, sans hiver pour se reposer. A force de nous prendre pour des surhommes/femmes, nous en perdons notre force et notre âme…

Il y a, au travers cette courte pratique quotidienne, la possibilité de nous rebrancher à notre source de vitalité mais aussi de sagesse.

Cette méthode est orchestrée tout en douceur, en lenteur, même si elle sait aussi se montrer dynamique

Elle finit, pratique après pratique, par avoir un effet thérapeutique sur tout notre corps (et en complément d’un traitement adéquat bien sûr, si l’on est souffrant). Les sensations, la détente, la respiration, avec l’attention dirigée, ré-ouvrent en nous de l’espace à la conscience pour quitter le mode « pilotage automatique » dans lequel nous nous sommes engouffrés, de plus en plus, pour pouvoir faire face au « travailler et faire plus » …

C’est une pratique qui cultive la clarté et entraîne l’énergie vitale à l’intérieur de notre corps.

Le but est de retrouver en soi un sentiment de fluidité, de légèreté mais aussi d’enracinement !

Cette pratique a transformé ma vie, et ma façon de voir la vie. Pourquoi pas la vôtre ?

Je souhaite qu’à vous aussi elle puisse apporter paix et transformation.

Je vous remercie d’avance, si vous trouvez cet article intéressant ou utile, de bien vouloir le partager à ceux à qui cela pourrait rendre service – et éventuellement de me laisser un petit commentaire ci-dessous

Sylvie Ducattillon

Sophrologue Caycédienne et Psychothérapeute, une double compétence pour mieux vous accompagner 

Toulouse et Foix : 06.89.60.12.99