Sylvie Ducattillon – Sophrologue & Psychothérapeute – Foix, Ariège
8, chemin des Lavandières
Saint Jean de Verges 09000
Téléphone: 06 89 60 12 99
E-mail: hostmaster@sylvieducattillon.fr

Revenir à l’essentiel. On peut passer beaucoup de temps à râler, se plaindre, juger, critiquer, catastropher…

Et nous aurions pour cela toutes les bonnes raisons du monde, surtout en ce moment me direz-vous !

Mais est-ce la cause ou la conséquence ?

 

Une chose est sûre en revanche, aujourd’hui les études se multiplient pour dire à quel point toutes ces attitudes sont néfastes pour notre santé et nous nuisent.

Aujourd’hui, on sait que nos émotions, agréables ou désagréables, ont un impact indéniable sur le corps. Les hormones et neurotransmetteurs qu’elles génèrent influent sur notre biochimie.

Et au-delà de leurs effets sur nos comportements, des dizaines d’études soulignent désormais linfluence des émotions négatives sur le risque et l’évolution des pathologies cardiovasculaires, par exemple. Avoir des pensées et attitudes négatives récurrentes entraînerait même un déclin cognitif et une accumulation de protéines néfastes pour le cerveau, au point d’augmenter un risque d’Alzheimer…

 

A l’inverse la psychologie positive, officiellement fondée en 1998 par Martin Seligman, a été reconnue bénéfique, par de nombreuses études, notamment sur l’augmentation du bien-être général et la réduction des symptômes liés à la dépression.

 

Mais inutile pour cela de nier la réalité !

En revanche, on peut toujours commencer par venir concentrer notre regard sur les choses essentielles et revenir à l’essentiel.

Aujourd’hui, nous sommes en vie avec tout le potentiel interne qu’elle recèle. Nous pouvons nous lever, marcher, utiliser nos bras, nos jambes. Nous avons la faculté de regarder la beauté du ciel, de la Nature qui nous environne. Nous avons dormi à l’abri, sous un toit, au chaud dans notre lit. Nous avons pu prendre un repas et manger à notre faim…

Quand on pense que c’est seulement lorsque tout cela nous manque que l’on reconnaît l’importance du primordial !

Alors, remercions la Vie pour tous ces cadeaux dont nous bénéficions au quotidien. Réapprenons à nous émerveiller du vrai merveilleux et pas de la montre ou du téléphone à la mode…

Lâchons nos ingratitudes et revenons à plus de concret !

 

Il y a des injustices et des difficultés, certes.

Mais alors que faisons-nous pour les changer ? Est-ce que c’est en râlant ou en se victimisant qu’un miracle se produira ?

Prenons plutôt nos responsabilités, utilisons la puissance et l’énergie de notre colère pour agir autrement et constructivement.

Et puis il y a ce que nous ne pouvons pas changer vraiment depuis notre place. Mais sommes-nous si impuissants en réalité face au réchauffement climatique et ses conséquences ? Ne pouvons-nous réellement rien faire pour faire évoluer chômage, misère ou guerre dans le monde ?… En sommes-nous bien sûrs ? Avons-nous fait le maximum de ce que nous pouvions ? Enfin, râler ou catastropher changera t-il la situation ?

 

Alors pourquoi ne pas plutôt venir poser notre attention sur l’instant que nous expérimentons ?

Quel est le sens de notre vie ?

Pourquoi nous levons-nous chaque matin ?

Quelles actions pouvons-nous entreprendre aujourd’hui, là maintenant, pour nous faire du bien ?… Ne serait-ce qu’aller respirer les odeurs du printemps dans un parc ou aller rire avec une amie ?

Quelle que soit notre situation personnelle ou professionnelle, notre âge ou notre condition sociale, la sophrologie basée également sur la psychologie positive s’attache à nous redonner des clés pour être heureux.

 

Et puis, rappelons-nous que quelle que soit la situation dans laquelle nous nous trouvons à l’instant « t », tout peut changer !

La vie est changement incessant et nous pouvons toujours revenir à l’essentiel.

 

Une personne qui voit la vie en noir peut décider de se concentrer davantage sur ses besoins déjà assouvis et le positif. Quelqu’un qui râle très souvent peut travailler sur lui-même pour développer davantage sa capacité à regarder la globalité de ce qui est, y compris avec son versant positif.

 

Lorsque nous grandissons, nos parents, notre environnement familial et social « nous façonnent » à leur image. Ils nous inculquent des croyances et des schémas de penser que nous faisons nôtres, de façon totalement inconsciente.

Mais étaient-ils heureux et épanouis ?

Observons que le bonheur n’est pas, comme on le pense souvent, lié à notre niveau de revenu ou à notre condition sociale. Notre environnement et notre niveau de ressources n’y contribueraient, en réalité, qu’à hauteur de 10%.

Non, le bonheur est un état d’esprit qui devient un état d’être pour revenir à l’essentiel.

Pour être heureux, nous devons nous y appliquer jour après jour.

 

Décider d’être heureux se décide, mais ne s’opère pas en un claquement de doigts ! Nous avons été conditionnés à nous plaindre, à regarder ce qui ne va pas, à catastropher, à générer une négativité entretenue tous les jours par les médias et nos gouvernants.

Et ce partout dans le monde aujourd’hui !

Nous mésusons de notre puissance, par ignorance, par inconscience, et créons le monde qui se présente à nous aujourd’hui, loin de toute sagesse.

Par conséquent pour changer de paradigme et modifier profondément notre façon de penser et de voir les choses, nous devons commencer par nous « muscler » intérieurement, muscler notre capacité d’attention pour être plus vigilants vis-à-vis de nous-même. Nous devons apprendre à prendre du recul sur nous-même, à l’image d’un sportif avant une compétition.

Un sportif va se préparer durant plusieurs mois pour participer à un marathon. Et il va, jour après jour, s’entraîner pour développer ses capacités : ses muscles, son endurance, son état d’esprit de « gagnant » et mettre ainsi toutes les chances de son côté pour remporter l’épreuve. Ça nous semble logique et normal !

 

Et bien, il en va de même ici.

 

Si nous voulons être heureux, il ne suffit pas de connaître les choses à changer. Il faut les expérimenter, les mettre en pratique et les intégrer jour après jour dans notre vie afin d’être en mesure de prendre du recul sur nos automatismes ancrés depuis plusieurs années.

 

C’est le but et le rôle de la Sophrologie Caycédienne. Nous permettre, au travers ses pratiques et sa philosophie positive, de récupérer notre potentiel naturel pour être plus conscients dans nos vies, retrouver positivité et énergie suffisantes afin d’avoir la force de faire évoluer ce qui ne va pas.

 

Alors, qu’attendons-nous pour changer et être mieux dans notre vie ? Revenir à l’essentiel ?

On y va ? Je vous attends.

 

SyLogo Sylvie Ducattillon Sophrologue Toulouse et Foixlvie Ducattillon

Sophrologue et Psychothérapeute, une double compétence pour mieux vous accompagner

06.89.60.12.99 – à Foix et en ligne

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